Je suis un sous-homme en quête d’une DOMINA OCCUPANT TOUT L’ESPACE DE MA VIE : soumis, discipliné, méthodique, à 60 ans, récemment retiré de la vie active, je me retrouve face à une question simple et vertigineuse : que faire de cette liberté devenue inutile ? J’ai accompli ce que l’on attendait de moi. Il est temps désormais de me défaire de moi-même.

Je ne cherche pas une relation ordinaire, ni une aventure. Je cherche une structure. Une DOMINATION FORTE, CONTINUE, IMMERSIVE. Une autorité féminine capable de s’imposer durablement dans mon existence. J’aspire à appartenir, mentalement et physiquement, à une Maîtresse unique, qui exercerait sur moi une EMPRISE TOTALE ET ASSUMÉE.

Je souhaite vivre sous contrôle permanent, sous collier. Être pris en charge, dirigé, corrigé. Abandonner progressivement toute autonomie, toute prise de décision, jusqu’à ne plus être qu’un exécutant docile, voire un objet méprisé ou un jouet sacrifié. Mon idéal est celui d’un effacement complet au profit de l’autre. Ne plus posséder, ne plus choisir, ne plus penser par moi-même.

La Maîtresse que je recherche serait une femme mûre dans son autorité, dont l’apparence physique est au demeurant secondaire du moment qu’elle se montre féminine, imaginative et naturellement dominante. Capable de mêler moqueries, humiliations, exigences et dureté, avec constance et cohérence. Une femme qui sache user de la contrainte, de la discipline et de la sanction comme OUTILS DE DRESSAGE. Une domination cérébrale avant tout, fondée sur la dépendance psychologique, l’éducation stricte et la soumission totale.

Je ne revendique aucun droit, aucun pouvoir. Mon plaisir n’existe que dans la satisfaction de ma Maîtresse. Il ne s’agit pas ici de virilité, mais de service. Le bonheur ne naît pas de la liberté, mais de la servitude consentie. Le sens de la vie se trouve dans le SACRIFICE DE SOI AU PROFIT DE LA FEMME toute-puissante.

Je suis prêt à formaliser cette relation par un CONTRAT, nécessairement à l’avantage de la Maîtresse. Je suis disponible, flexible, mobile. Le temps n’est plus une contrainte. L’engagement peut être ponctuel ou continu, bref ou prolongé, jusqu’à une présence permanente si l’entente le permet. Même l’idée d’un lien définitif ne m’effraie pas.

Je ne me considère pas comme un sous-homme à préserver, mais comme une matière à modeler, sculpter et façonner. Au moindre doute sur mon obéissance ou mon respect, j’attends une réponse ferme, sans compromis, destinée à me réduire, me neutraliser, m’empêcher de nuire. Je ne crains ni l’humiliation ni la souffrance, dès lors qu’elles servent l’ordre et la domination.

Socialement intégré, matériellement stable, je ne cherche pas à acheter une relation, mais j’accepte d’y contribuer selon des termes clairs. Ce que je propose n’est pas un échange, mais un abandon.

Certains diront que ce n’est pas une vie. Je réponds que c’en est une, enfin, débarrassée de l’illusion de l’égalité et du poids de la liberté.

Si une femme se reconnaît dans cette position de commandement absolu, peut-être acceptera-t-elle d’entrer en contact avec celui que je suis prêt à devenir pour elle.